Nouvelles de mon défi vélo en mai 2023

Quelques nouvelles sur mon défi vélo à venir !
au profit de la La pause Brindille où je jouerai mon spectacle « Un sourire vaut mieux qu’un malentendu » à chaque étape

Mercredi 17 mai : Nevers
Mon dossier circule entre les services de la mairie. 

Jeudi 18 mai : La Charité sur Loire = 48,3 km
😊 Il est fort probable que j’intègre leur festival qui a lieu en même temps, avec la Cité du Mot. 

Vendredi 19 mai : Cosne-cours-sur Loire = 38,8 km
✅ La mairie me prête une salle des fêtes! Tout est bon !

Samedi 20 mai : Gien = 47,9 km
✅ C’est le château-musée qui m’accueille, et me réserve un gite!

Dimanche 21 mai : Saint Benoit sur Loire = 38,7 km
✅ Intervention privée dans une maison de retraite qui m’accueille avec plaisir.
Je dormirai à l’abbaye de Fleury !

Lundi 22 mai et Mardi 23 mai : Orléans = 46,2 km
✅ T’hand’M s’occupe de tout, un partenaire de choc qui m’a déjà accueilli en 2019 !

Je ferai deux interventions auprès des jeunes sourds dans la journée du 23 puis mon spectacle pour tout-public le soir !

Mercredi 24 mai : Blois = 63,3 km
✅ Toujours avec la même association que sur Orléans. Tout est bon !

Jeudi 25 mai : Amboise = 43,6 km
✅ Je serai accueilli par Ethic Etapes Ile d’Or 

Vendredi 26 mai : Villandry = 49,3km
🙂 J’ai bien un lieu pour dormir. 
Il me reste à trouver une salle à trouver !

Samedi 27 mai : Saumur = 55 km
😕 J’attends une réponse d’ici 8 jours après moult relances de la mairie!
Tu es de Saumur, et tu connais un autre lieu très motivé pour m’accueillir, je suis preneur !

Dimanche 28 mai : Saint Rémy la Varenne = 27,4 km
✔ C’est tout bon. Je jouerai au prieuré à 17h !

Lundi 29 mai : Angers = 38 km
➕ C’est en cours de recherche. Une piste qui est en train d’être creusé

Mardi 30 mai : Ancenis = 69,5 km
➕ J’attends des nouvelles !

Mercredi 31 mai et 1er juin : Nantes = 42,2 km
✔️Merci Institut Public Ocens pour votre accueil. Je jouerai exactement à Vertou.

Je lancerai ma campagne de crowfunding fin février pour financer notre projet !
Je dis notre car je le ferai grâce à toi, aux associations,, aux entreprises qui me soutiendront dans ce périple.

J’espère tout boucler d’ici mi-février !

PS : Note à moi-même => créer une page de ce projet sur mon site internet pro 😂

Lettre à une grand-mère

Dans le cadre de l’opération 1lettre1sourire pour une personne âgée dans un EHPAD que je ne connais pas :

Très chère madame,

Voici quelques mots, bien que je ne vous connaisse point.
Des mots pour vous remercier largement avec appoint.
Merci pour ce que vous êtes, votre sourire intérieur
Qui est votre souffle apaisante, guérisseur.
Même si je ne vous connais pas, je vous aime
Et je vous offre ce modeste poème.
Ma fille rit. L’entendez-vous par-delà les murs ?
On peut l’entendre vibrer dans un murmure.
Voyez-vous les fleurs qui respirent, inspirent ?
Leurs odeurs se faufilent pour vous maintenir.
A travers les carreaux, je vous envoie un bonjour
De tous nos délicieuses années, tendres jours.
Merci pour tout ce que vous avez produit
Tout ce que vous avez semé, entrepris.
Merci pour vos larmes d’amour, de tendresse,
Pour vos moindres regards, vos caresses.
Tout ce qui a été visible ou invisible.
Je vous souhaite encore de l’imprévisible
Pour rayonner vos journées particulières
En ces temps difficiles, singulières.
Bon courage à ceux qui vous entourent
Et prennent soin de vous sans détours.
De tout coeur avec vous,

Alsace (102)

Journal d’un confiné #12

La persévérance et la patience portent du fruit.
Quand le silence vient, ça fait un délicieux bruit.
(Toi, tu as bu de la bière ou de l’hydromel !)
Le confinement nous fait vivre l’essentiel
Quand certaines conditions sont réunies.
(C’est évident, d’autres ont des petits nids !).
J’envoie des ondes positives à ceux qui galèrent
Dans la solitude ou dans une ambiance scolaire.
(N’oublie pas ceux qui sont sur le terrain).
Bien sûr, soutenons-les avec des tambourins,
Qu’ils aient une vraie reconnaissance politique !
(Pas seulement des mercis, une vraie logistique!)
N’oublions personne pour plus d’humanité
Que l’argent serve à la solidarité, à la dignité.
(Dans tes rêves, mais oui faut y croire et se battre)
Rendre service, cela ne doit pas nous abattre
Mais relever ce qui fait sens en nous, le plus juste.
(Que ce ne soient pas les mêmes qui dégustent)

Hier soir, comme chaque soir depuis jeudi dernier,
J’ai fait du balafon sur ma terrasse !
En voici une démonstration : (Avancez un peu la vidéo pour m’entendre jouer 😉 )

 

 

Slam toujours engagé

J’espère la révolution

Une révolte de la joie

Un souffle de la Foi

En l’homme sans soumission.

J’espère un immense partage

De chacun et chacune

Dans leur long voyage

Sans gri-gri, sans rancune.

Vive la route

Qui nous déroute

Vers une colère

Qui nous libère.

J’espère la sérénité

Au delà de la haine

Vers la solidarité

Toute pérenne.

 

Slam composé lors du festival Vents du monde à Chaponost. Nous devions inclure 10 mots proposés (soulignés dans le texte) sur une table et produire un texte que nous devions déclamer à la fin de la journée devant le public.

Je nous souhaite…. Voeux 2019

Je nous souhaite une année de petits bonheurs, de solidarité et de fraternité, de la bienveillance quand viendront les coups durs, les coups de mous.

Je nous souhaite de profiter des instants de rire, de sérénité, de goûter des découvertes et des expériences inattendues.

Je nous souhaite de vivre nos rêves les plus fous, avec ce que nous sommes réellement, sans limites, sans se préoccuper du regard de l’autre, sans tabou.

Je nous souhaite de semer, de créer, d’innover pour un monde moins pire avec nos quotidiens personnels et professionnels.

Je nous souhaite une harmonie entre nos valeurs, nos pensées, nos paroles et nos actes, et de persévérer.

Je nous souhaite d’accueillir nos moments de fragilité, d’impuissance et de se relever avec des personnes sur qui nous pouvons compter.

Je nous souhaite de la douceur envers nous-même et les autres, pour avoir un regard plus apaisé malgré la dureté de nos réalités.

Pas de bonnes résolutions mais des envies à concrétiser, des actes petits ou grands, à court terme et à long terme.

Osons rêver vraiment et se rapprocher au maximum de nos rêves en mettant les moyens chaque jour.

Je nous souhaite de provoquer notre chance, d’être audacieux et saisir chaque instant comme un cadeau.

Je nous souhaite d’aimer sans compter, de sourire sans réfléchir, de respirer sans cesse.

Je nous souhaite de vivre tout simplement sans subir mais la vivre à fond avec nos forces singulières, insoupçonnables.

Ne restez pas sourd à votre coeur et raison !

Prenez bien soin de vous et à très bientôt pour de nouvelles aventures

Pour 2016, je nous souhaite…

 

A l’aube de cette nouvelle année, je voudrais nous souhaiter

Des joies à n’en plus finir et du courage à revendre.

Si la galère nous plombe, je voudrais nous souhaiter

De croiser des regards encourageants et tendres.

De bien se reposer si possible, quand c’est possible

De profiter de nous changer les idées loin des maux.

Je nous souhaite de respirer et sourire, de positiver.

Je nous souhaite d’écrire, de chanter, crier vos mots.

Que notre intérieur soit plus léger chassant des remords.

N’ayons pas peur de vivre avec des renoncements,

Des renoncements pour un mieux-être et être  disponible

A notre entourage, aux événements, aux rencontres.

Je nous souhaite de ne pas être mis à l’écart, invisible

Et de croire en nos capacités, en nos décisions qui contrent

Les mauvaises langues, les jugements absurdes et faux.

Je nous souhaite d’entendre, d’écouter et de comprendre

Et d’avoir des instants de sérénité et moins d’esclandre.

Je nous souhaite de vivre tout simplement, de l’endurance

Pour persévérer et accomplir nos projets, nos rêves.

Je nous souhaite la rage de la liberté intérieure, sans trêve

Et pleins d’espoirs et de solidarité à outrance.

Paquerette de Noel

Que t’offrir pour Noël ?

Qu’est-ce que je pourrais t’offrir pour Noël ?

Un peu de ma présence et beaucoup de rires.

Un cadeau qui te correspond et te rejoint.

Un regard où tu te sens reconnu dans ce que tu es et ce que tu vis.

Que pourrais-je t’offrir avec mes limites et mon caractère ?

Deux oreilles pour te sentir entendu dans tes joies et misères.

(Même si j’en ai qu’un qui fonctionne, elle en vaut deux quand même !)

Une bouche pour te réconforter et t’apaiser.

Des mains pour t’aider dans les difficultés de tes gestes ou déplacements.

Du nez pour t’élever en odeur d’humanité. (Un peu de poésie ne fait pas de mal).

 

J’aimerai bien t’offrir des poignées de paix

J’aimerai bien t’offrir des germes de liberté pour que tu puisses les arroser et les faire fleurir.

Te donner à manger et à boire quand ton corps est fatigué par la vie.

J’aimerai bien t’offrir des rêves à n’en plus finir

Juste pour oublier un petit temps les rudesses de la vie.

 

Viens donc te poser un instant pour rêver, savourer

Qu’une personne veille sur toi et que tu comptes pour lui.

Si ! J’en suis sûr qu’il y a un qui existe si ce n’est pas moi.

Je te souhaite ce cadeau, qu’on te le dise, que tu es important,

Que tu comptes pour quelqu’un et que tu en vaux la peine.

Viens prendre cet instant d’éternité de fête bien particulière.

 

Que malgré les tensions, les peurs, les angoisses du moment,

Je te souhaite une joyeuse fête de Noël avec des yeux qui pétillent.

DSC_0546

La curiosité d’Alberto ou la désobéissance civile

Piqué sur le vif, en regardant le journal, Alberto s’énerve contre ces immigrés qui envahissent le territoire. Il se réjouit des mesures préventives empêchant les étrangers de passer la frontière. Il ne pourrait pas rester chez eux, se dit-il. Alberto galère déjà pas mal à trouver un boulot. Il entretient comme il peut sa petite maison avec sa femme. Ils ont un petit potager ouvrier qui se trouve à 15 minutes à pied de chez eux, près d’une autoroute.

Un matin, au lieu de regarder les médias nationaux, il essaie de lire un autre type de journal. Comme ça, pour changer. Par curiosité. Non, pas par voyeurisme. Il ne souhaite pas se délecter des malheurs des autres. Il ne sait pas pourquoi mais il pressent que quelque chose ne tourne pas comme il se l’imagine. A cause de cette nuit. Il a fait un mauvais rêve. Alors, Alberto souhaite vérifier. Pour cela, il a besoin de recouper les informations ; Voir d’autres types d’informations. Et surtout de voir la fiabilité des informations. Oui, Alberto a une lucidité soudaine qui le surprend. Sa femme se demande s’il n’est pas malade. Il est tout calme son bougre d’homme.

Enfin, comme il a internet depuis peu, il tombe par hasard sur une vidéo sur Mare Nostrum. Sur le sauvetage des réfugiés sur les bateaux. Puis une autre vidéo sur la condition de vie des immigrés dans des centres de rétention. Enfin, il lit un témoignage d’un sub-saharien sur son parcours. Il est effaré et n’y croit. C’est aberrant. On ne peut pas vivre des choses pareils tel que se confronter chaque jour à la mort, à la soif, à la faim avec une peur qui vous tenaille jusqu’aux entrailles. Mais alors qu’est-ce qu’il les amène hors de son pays ? Est-ce vraiment le désespoir ? Ne serait-ce pas du courage et une volonté de vivre de vouloir s’échapper d’un monde où il risquerait de mourir à chaque instant ?

Alberto est ébranlé. Il perd un peu ses repères. Il se souvient de son père qui avait immigré d’Italie. Il ne souvient pas qu’il ait tant galéré. Il avait souffert mais vraiment autrement pour vouloir offrir une vie plus digne à sa famille, ses enfants. Alors pourquoi ces réfugiés n’auraient pas droit de trouver une meilleure vie ailleurs ? Chacun a sûrement des talents à donner, à offrir au pays qui l’accueille.

Puis Alberto pense aux gouvernements européens et africains. Quels sont leurs responsabilités dans les conflits qui secouent beaucoup de  pays. Quels sont les responsabilités des multinationaux qui maintiennent des injustices à n’en plus finir ?

Toutes ces questions en une journée. Alberto se sent épuisé mais changé. Sans parler à sa femme, il va voir une association qui s’occupe des réfugiés entre autres, la Cimade. Il découvre aussi l’existence de Coordination Urgence Migrants, Forum réfugiés, . Il est rassuré que des associations existent. Mais il pressent que cela ne suffit pas. Les jours passent et ressent le besoin d’informer, de sensibiliser les personnes.

Ce n’est pas parce qu’un étranger arrive qu’il va prendre mon boulot. Il a autant sa place comme je peux avoir ma place, se dit-il.

Sa femme a bien remarqué son manège. Un soir, elle l’engueule bien gentiment car Alberto est souvent en ville pour rencontrer des associations, pour donner un coup de main.

Et moi, qu’est-ce que je peux faire ? Lui lance-telle ?

Alors Alberto lui fait part de ses idées. Comme il est maçon et bricoleur, il souhaite construire des maisons assez simples, pratique pour les migrants de passage. Il avait repéré un champ en abandon. Il en avait parlé au vieux propriétaire qui est d’accord en échange de propreté, d’entretien du terrain.

C’est ainsi que les jours suivants, il construit un petit village, avec son réseau de voisins et des migrants qui sont partis prenant du projet. Au-delà de la loi parce qu’il n’ pas de permis de construire. Avec l’administration, cela aurait trop traîné. La solidarité et le partage prime pour que chaque réfugié retrouve sa dignité, en se sentant utile et reconnu tel qu’il est.

Alberto sent bien qu’il est hors-la loi mais la désobéissance civile devient nécessaire quand la loi est devenue écrasante pour ceux qui sont dans la misère. Il souhaite que la Loi serve plus les plus pauvres et moins les nantis. Trouver un juste équilibre.

Des droits sans devoirs ?

Rien ne va plus. Les devoirs ont foutu le camp.

Les élèves ont laissé envolé leurs cahiers.

Rien ne va plus. Ils n’ont plus que des droits.

Droit comme une règle qui frappe ceux qui sont tordus.

Droit pour s’exprimer haut et fort contre les parasites.

Droit pour hurler sans retenue avec une totale liberté.

Droit pour s’élever et écraser ceux qui triment.

Et pourtant le devoir permet aux élèves de grandir,

De corriger, reconnaitre leurs erreurs et rebondir

Encore sans cesse avec l’autre avec dignité et respect.

Cela demande des efforts, certes à différents aspects.

Le travail ne doit pas être un dure labeur éternel

Mais des sources de créativités que l’on ne soupçonnerait pas.

Droit mais avec la souplesse du devoir, pour nuancer le réel.

Dans chacun de nos droits, n’oublions pas l’autre, l’humain qui a aussi des droits.

Même s’il est un étranger, même s’il est immigré, même s’il est rom, même s’il est différent de par son handicap ou ses croyances, même s’il est d’une autre culture.

Ne laissons pas les puissants abattre les devoirs qu’ils ont aussi envers l’autre.

Ne laissons pas l’argent étouffer les relations.

Ne laissons pas la tentation d’écraser l’autre prendre le dessus.

Puisque je ne peux pas me taire.

Je continue encore à écrire.

Parce que je ne peux pas sans cesse fermer les yeux face à l’actualité.

Parce que je ne peux pas rester silencieux.

Non mais sérieux, à quoi bon de stigmatiser, de proférer des vérités toutes faites ?

Sérieusement, qui sommes-nous pour juger et condamner ?

Rappelons à chacun d’entre nous les devoirs qui vont de pair avec les droits.

Ne nous laissons pas envahir par la peur de l’autre.

Tout est encore possible et ne laissons pas la haine gangrener la société.

Tout n’est pas pourri. Tout est toujours possible.

Le partage, un vecteur de solidarité ?

Malgré la misère, la violence qui étouffe chacun à différents degrés selon son histoire, son vécu, son environnement, il existe des solutions. Des solutions pour un monde plus solidaire, plus humain.

Rien que ces mots peuvent énerver certains. Il est tellement facile d’envoyer aux orties des termes qui nous semblent venus venir du monde des bisounours. Au contraire, cela demande des efforts pour sortir de l’indifférence, de l’égoïsme, de l’orgueil, du rejet de l’autre.

Cela demande des efforts d’aller à la rencontre de l’autre, de l’écouter, de dialoguer sans jugement.

 DSC_0264

 

J’y crois en ces solutions parce que je les aies vécus, expérimentés et vues.

Et quand on a fait cette expérience, c’est une bonne drogue qu’on ne peut plus s’en passer.

Alors, c’est quoi ?

Je dirai le partage. Oui, le partage des connaissances, le partage de nos vies, le partage de nos passions, le partage matériel ou alimentaire. On pourrait le tourner dans un terme plus professionnel : Le partenariat.

Le partage ne peut marcher que si elle est vécu sans l’intention d’écraser ni juger l’autre.

Bien sur qu’il y a le don mais le partage, n’est-ce pas un don réciproque ?

Un partage pour mettre l’homme au centre de notre quotidien et non l’argent. L’argent est nécessaire bien sur mais pas essentiel. Promouvoir l’autre et non le profit.

Partager du temps avec l’autre.

Partager un sourire ou bien un bonjour.

Partager une expérience professionnelle.

Partager un morceau de pain à ceux qui ont faim.

Partager dans un but de la rencontre, de reconnaitre l’autre à sa juste place.

Partager pour mieux comprendre l’autre et mieux s’entendre et s’écouter.

Partager, échanger un livre, un film qui nous as plu.

Partager, échanger des idées qui peut améliorer le quotidien.

 

Le partage demande du temps à le mettre en place.

Le partage est un vrai défi pour les politiques qui cherchent à prendre du pouvoir, comme ceux qui sont dans les médias et influencent la marche du monde. Heureusement qu’ils existent des hommes et des femmes qui se battent en essayant d’être intègres, d’être sincères dans leurs convictions.

 

Ne pourrait-on pas partager des solutions qui relèvent l’homme dans sa dignité dans les journaux à grands publics tel que Métro, 20minutes etc… Montrer que tout est possible malgré tout.

 

Voilà, je voulais vous le partager et l’écrire, et je continuerai !