Lettre à une grand-mère

Dans le cadre de l’opération 1lettre1sourire pour une personne âgée dans un EHPAD que je ne connais pas :

Très chère madame,

Voici quelques mots, bien que je ne vous connaisse point.
Des mots pour vous remercier largement avec appoint.
Merci pour ce que vous êtes, votre sourire intérieur
Qui est votre souffle apaisante, guérisseur.
Même si je ne vous connais pas, je vous aime
Et je vous offre ce modeste poème.
Ma fille rit. L’entendez-vous par-delà les murs ?
On peut l’entendre vibrer dans un murmure.
Voyez-vous les fleurs qui respirent, inspirent ?
Leurs odeurs se faufilent pour vous maintenir.
A travers les carreaux, je vous envoie un bonjour
De tous nos délicieuses années, tendres jours.
Merci pour tout ce que vous avez produit
Tout ce que vous avez semé, entrepris.
Merci pour vos larmes d’amour, de tendresse,
Pour vos moindres regards, vos caresses.
Tout ce qui a été visible ou invisible.
Je vous souhaite encore de l’imprévisible
Pour rayonner vos journées particulières
En ces temps difficiles, singulières.
Bon courage à ceux qui vous entourent
Et prennent soin de vous sans détours.
De tout coeur avec vous,

Alsace (102)

Lettre d’un enfant sourd à ses parents en vidéo et en texte

Texte écrit en septembre 2016, et sera présent dans mon futur livre 🙂

 

Je suis sourd. Vous avez appris que je suis sourd.

Je voudrais tant découvrir le monde et l’entendre.

L’entendre avec mes mains, mes yeux, ma bouche.

Ne m’enfermez pas dans vos choix. Je serai toujours sourd.

Même si vous m’implantez, je ne serai jamais entendant.

Même si vous m’appareillez, je resterai toujours sourd.

Vos choix seront vos choix et elles peuvent évoluer.

Que rien ne m’empêche à apprendre la langue des signes,

Si je veux pouvoir communiquer, avoir une identité.

La langue des signes n’est pas égale à l’illettrisme.

C’est une langue à part, avec ses richesses.

Je pourrai très bien ne pas l’apprendre

Mais je souhaiterai que vous me laissiez le choix.

Le choix de connaitre la culture sourde avec sa diversité.

C’est tout autant de diversité et de richesses que chez les entendants.

Je suis avant tout votre enfant, avec une surdité qui fait partie de ma personne.

 

Laissez-moi grandir.

Laissez-moi le temps de découvrir.

Laissez-moi le temps de comprendre.

Laissez-moi le temps d’apprendre.

 

Ne me laissez pas seul sans repères.

Ne me laissez pas seuls sans pairs.

 

Ne projetez pas vos désirs d’adulte sur moi.

Ne me faites pas mettre des vêtements de désirs.

Ne me faites pas de moi une star même si je le désire.

Osez me dire non et n’ayez pas peur que je sois en émoi.

 

Il me faut grandir dans la frustration.

Il me faut grandir dans l’insouciance.

 

J’ai besoin de la vie, cette science

De l’humanité pleine de distractions.

 

J’ai besoin de me sentir en sécurité

J’ai besoin d’amour et de vérité.

J’ai besoin de votre pardon

 

J’ai besoin que vous reconnaissiez vos erreurs.

Ne me laissez pas dans mes terreurs,

Mes angoisses même si je ne dis rien.

 

J’ai besoin de me tromper, d’expérimenter

Mais ne me laissez pas sombrer dans la colère

Ni même dans les frayeurs, les inquiétudes.

 

J’ai besoin de tendresse, de plénitude

Dans vos actes et vos mots chaque jour

Je vous aimerai sans cesse, toujours.

 

N’oubliez pas que je reste un enfant.

Je ne suis pas un adulte en miniature.

Ne me laissez pas en pâture

Devant la télévision sur le divan.

 

Je crois en vous. Vous êtes mes modèles.

Tout ce que vous ferez, je le ferai.

Tout ce que vous direz, je le dirai.

Aidez-moi à voler de mes propres ailes.

 

@Copyright Vivien Laplane – 2016

Laissez-moi grandir

Laissez-moi grandir.

Laissez-moi le temps de découvrir.

Laissez-moi le temps de comprendre.

Laissez-moi le temps d’apprendre.

 

Ne me laissez pas seul sans repères.

Ne me laissez pas seuls sans pairs.

 

Ne projetez pas vos désirs d’adulte sur moi.

Ne me faites pas mettre des vêtements de désirs.

Ne me faites pas de moi une star même si je le désire.

Osez me dire non et n’ayez pas peur que je sois en émoi.

 

Il me faut grandir dans la frustration.

Il me faut grandir dans l’insouciance.

Laissez-moi dans l’innocence

Dans la spontanéité de mes paroles et de mes gestes.

 

J’ai besoin de la vie, cette science

De l’humanité pleine de distractions.

 

J’ai besoin de me sentir en sécurité

J’ai besoin d’amour et de vérité.

J’ai besoin de votre pardon

 

J’ai besoin que vous reconnaissiez vos erreurs.

Ne me laissez pas dans mes terreurs,

Mes angoisses même si je ne dis rien.

 

J’ai besoin de me tromper, d’expérimenter

Mais ne me laissez pas sombrer dans la colère

Ni même dans les frayeurs, les inquiétudes.

 

J’ai besoin de tendresse, de plénitude

Dans vos actes et vos mots chaque jour

Je vous aimerai sans cesse, toujours.

 

N’oubliez pas que je reste un enfant.

Je ne suis pas un adulte en miniature.

Ne me laissez pas en pâture

Devant la télévision sur le divan.

Je souhaite construire ma propre identité

Et ne souhaite pas être guidé par les médias.

Aidez-moi à développer mes talents.

Aidez-moi à réfléchir, à discerner par moi-même.

 

Je crois en vous. Vous êtes mes modèles.

Tout ce que vous ferez, je le ferai.

Tout ce que vous dirai, je le dirai.

Aidez-moi à voler de mes propres ailes.

Partage d’une lettre d’un sourd à un entendant

Bonjour à tous,

 

Au cas où vous ne le sauriez pas, j’ai écrit une lettre qui pourrait vous intéresser, si vous rencontrer un jour, une personne sourde ou malentendant comme moi. 😉

Lettre d’un sourd à un entendant

Belle soirée à vous et au plaisir de vous lire sur mon autre blog.

A très bientôt pour les photos.

Lettre d’un sourd à un entendant

Cher(e) entendant(e) ,

Viens donc dans la lumière pour que je te vois.

Pour mieux te comprendre, j’ai besoin de voir ton visage.

Le visuel est important pour le sourd que je suis.

Je te demande de répéter. Dis-le simplement sans crier.

Cries-tu dans un micro ? Les sons satureraient. On y comprendrais rien.

J’ai besoin que tu me parles simplement sans articuler exagérément,

Sans cacher ta bouche avec ta main.

Parfois je te fais encore répéter. Pour mieux te comprendre.

Mais non, je ne suis pas idiot. Si tu entends « ou… in », que dirait-tu ?

Il me faut entendre les consonnes qui sont des sons graves.

Il y a des consonnes difficiles à différencier comme B et P.

Si tu me dit poussin et que je comprends pouffin, y aurait malentendu.

Je te l’accorde, dans le contexte, je peux comprendre.

Mais cela me demande beaucoup d’attention. C’est fatiguant.

Pour t’entendre, j’ai besoin d’un lieu calme.

Les bruits parasites m’embrouillent et je ne peux pas me concentrer.

Cela serait bien dommage de ne pas pouvoir dialoguer, n’est-ce pas ?

Imagine dans un groupe qui parle tous en même temps ?

Impossible de suivre une conversation. On pourrait croire que je suis asocial.

Comment je peux être en lien s’il n’y aucun moyen d’être connecté et que surtout que le réseau passe très mal. Imagine que tu essaie de passer un coup de fil avec un réseau pourri, avec des grésillements.

Ah oui, préviens-moi quand tu souhaites me parler. Je n’ai pas le wifi.

Il faut que tu puisses me connecter pour attirer mon attention.

Pas la peine de crier, je sursauterai. Pas envie d’avoir une crise cardiaque.

Tu peux utiliser des moyens visuels ou juste taper sur mon épaule.

Pour ma part, je suis sourd oraliste et je ne signe pas.

Et oui, je ne suis pas muet. Je parle, j’oralise.

Certains peuvent avoir de forts accents, d’autres peu. Comme moi.

Toutefois certaines personnes pensent que je suis belge ou allemand

Avec mes S ou J qui se tranforment en CH…

Ah si tu savais la diversité dans le monde des sourds !

Des sourds signants.

Des sourds codeurs en LPC.

Des devenus-sourds.

Des malentendants.

Des sourds qui sont implantés ou pas etc…

Tiens, j’ai un fait un schéma, c’est plus simple : Sourd ou malentendant ? Au choix

Je parle ? Et alors, je suis bien sourd. Cela ne m’empêche pas de parler

Et de très bien me débrouiller sans que ça soit facile, bien sur !

Je pourrai t’avouer que ça été du labeur pour y arriver, avec de l’orthophonie et un bon appareillage mais ça a payé.

Tu oublieras parfois les précautions à prendre et tu oublieras que je suis sourd.

Marié depuis 3 ans, ma femme oublie de temps en tems en me parlant d’une autre pièce, ou en me parlant quand je suis occupé à un faire un travail.

Et oui, cela demande des efforts comme cela me demande aussi des efforts pour écouter.

Mais on y gagne au change de faire plus attention à l’autre. On n’y perd pas en liberté.

Bien sur que c’est chiant comme un grand nombre de petites choses dans la vie quotidienne.

Mais ce n’est rien à coté des échanges que nous avons, des bons moments que nous pouvons passer sans se parler.

N’oublie pas, le visuel est très important. On compense énormément pas la vue et c’est une richesse que l’on pas. Faut bien avoir des avantages aux inconvénients, n’est-ce pas ?

Je suis sourd mais je ne suis pas aveugle et peut voir, entendre ce que tu vis, de sentir tes aspirations et de reconnaitre tel que tu es.

Alors, n’aie donc pas peur de venir discuter, échanger. Tout est toujours possible tout en s’adaptant.

( Tu veux en savoir plus,  il existe une brochure: « Comment parler à une personne malentendante ? «  °

Lettre d’un enfant sourd à ses parents

Je suis sourd. Vous avez appris que je suis sourd.

Je voudrais tant découvrir le monde et l’entendre.

L’entendre avec mes mains, mes yeux, ma bouche.

Ne m’enfermez pas dans vos choix. Je serai toujours sourd.

Même si vous m’implantez, je ne serai jamais entendant.

Même si vous m’appareillez, je resterai toujours sourd.

Vos choix seront vos choix et elles peuvent évoluer.

Que rien ne m’empêche à apprendre la langue des signes,

Si je veux pouvoir communiquer, avoir une identité.

La langue des signes n’est pas égale à l’illettrisme.

C’est une langue à part, avec ses richesses.

Je pourrai très bien ne pas l’apprendre

Mais je souhaiterai que vous me laissiez le choix.

Le choix de connaitre la culture sourde avec sa diversité.

C’est tout autant de diversité et de richesses que chez les entendants.

Je suis avant tout votre enfant, avec une surdité qui fait partie de ma personne.

Si vous avez des lunettes, doit-on ignorer que vous êtes myope ou presbyte ?

 

Laissez-moi grandir.

Laissez-moi le temps de découvrir.

Laissez-moi le temps de comprendre.

Laissez-moi le temps d’apprendre.

 

Ne me laissez pas seul sans repères.

Ne me laissez pas seuls sans pairs.

 

Ne projetez pas vos désirs d’adulte sur moi.

Ne me faites pas mettre des vêtements de désirs.

Ne me faites pas de moi une star même si je le désire.

Osez me dire non et n’ayez pas peur que je sois en émoi.

 

Il me faut grandir dans la frustration.

Il me faut grandir dans l’insouciance.

 

J’ai besoin de la vie, cette science

De l’humanité pleine de distractions.

 

J’ai besoin de me sentir en sécurité

J’ai besoin d’amour et de vérité.

J’ai besoin de votre pardon

 

J’ai besoin que vous reconnaissiez vos erreurs.

Ne me laissez pas dans mes terreurs,

Mes angoisses même si je ne dis rien.

 

J’ai besoin de me tromper, d’expérimenter

Mais ne me laissez pas sombrer dans la colère

Ni même dans les frayeurs, les inquiétudes.

 

J’ai besoin de tendresse, de plénitude

Dans vos actes et vos mots chaque jour

Je vous aimerai sans cesse, toujours.

 

N’oubliez pas que je reste un enfant.

Je ne suis pas un adulte en miniature.

Ne me laissez pas en pâture

Devant la télévision sur le divan.

 

Je crois en vous. Vous êtes mes modèles.

Tout ce que vous ferez, je le ferai.

Tout ce que vous dirai, je le dirai.

Aidez-moi à voler de mes propres ailes.

Lettre d’un sourd aux parents d’enfants sourds

Chers parents d’enfants sourds,

Je souhaite vous rassurer que votre enfant restera un enfant qui s’émerveillera, qui grandira avec tout ce que pouvez lui transmettre de mieux. C’est tout à fait normal d’être inquiet. N’ayez pas peur de vos choix car le choix que vous allez faire sera le mieux pour votre enfant, pour vous au moment où vous le prendrez. Votre enfant sera façonné par vos gestes, vos voix, vos attitudes. Il sera aussi façonné par ses découvertes du monde à travers tous ses autres sens. N’arrêtez pas de lui parler pour qu’il sente vos vibrations vocales. Personne n’a le droit de vous imposer une direction si c’est contre vos principes ou contre vos valeurs. Personne n’a le droit de vous critiquer parce que vous avez pris votre décision. Il y a tellement de choix, c’est vrai. Je vous souhaite de choisir ce qui vous convient le mieux pour votre enfant. Je ne vous souhaite que du bonheur avec tout ce que vous allez construire, tout ce que vous allez innover, créer pour que votre enfant puisses communiquer avec vous, comprendre le monde qui l’entoure.

 

Voici les différents chemins qui peuvent s’ouvrir pour votre enfant avec un lien vers une association qui pourrait vous éclairer, témoigner

Tout d’abord, vous pouvez joindre l’ ANPEDA – Association Nationale des Parents d’Enfants Déficients Auditifs

Site : http://www.anpeda.fr/

Ils ont des antennes dans la plupart des régions appelées les URAPEDA.

Ou bien l’ANPES – Association Nationale des Parents d’Enfants Sourds.

Site : http://www.anpes.org/

  • La langue des signes : FNSF – Fédération Nationale des Sourds de France

Site : http://www.fnsf.org

  • L’oralisme

Site : http://www.afideo.org/

  • Le bilinguisme : 2LPE – Deux Langues pour l’Education – Politique Bilingue

Site : http://2lpe.poli.bilingue.free.fr/

  • La langue parlée complétée – LPC : ALPC – Association nationale pour la promotion et le développement de la Langue française Parlée Complétée

Site  : http://www.alpc.asso.fr/

  • L’implant Cochléaire : Génération Cochlée

Site : http://www.generation-cochlee.fr/

Centre d’information sur la surdité et l’Implant Cochléaire

Site : http://www.cisic.fr/

 

Et si vous avez d’autres questions sur les démarches à effectuer pour votre enfant, il existe depuis un an, le Centre d’Information National sur la Surdité. C’est une équipe de documentalistes qui pourront vous répondre de manière fiable et précis soit par téléphone, mail, tchat, sms et visiophonie.

Site : http://www.surdi.info/

 

Chaque choix posée est légitime et doit être respecté dans son histoire.

Mes parents ont choisi pour moi une scolarité ordinaire avec une tentative de classe intégrée qui a échoué. Ils ont tout misé sur l’oralisme, l’intégration complète. Bien sur que j’en ai bavé. Mais qui n’en bave pas dans sa propre vie. Personne ne peut échapper aux crevasses, aux tempêtes mais on peut en ressortir encore plus grandi en fonction de son caractère, de sa personnalité. Je ne reproche rien à mes parents. Je suis fier d’eux et c’est réciproque.

L’importance, chers parents, j’y crois vraiment, c’est l’amour dans chacun de vos choix et de vos gestes et surtout d’être bien entouré. Ne restez pas seuls. J’ai pu grandir aussi grâce à des professeurs, des orthophonistes, des amis et bien sur la famille.

J’ai eu un chouette parcours riche avec un bac littéraire en poche (13 en français à l’oral, la classe pour un sourd), une licence de géographie, un BAFA (Brevet d’animateur), un diplôme d’éducateur spécialisé et un diplôme de documentaliste. Il y aura toujours de l’espoir pour chaque enfant si chaque jour, on croit en lui et qu’il se sente aimé et compris. C’est le même refrain pour tout le monde.

 

Pour résumer, soyez entouré, soutenu et confortez-vous à travers les témoignages.

 

Des remarques ? Des phrases qui vous choquent ? Des questions en suspens ? Une frustration ? Vous pouvez laisser un mot et je vous répondrai du mieux que je pourrai.

Lettre à un jeune diplômé

Salut à toi qui viens d’avoir ton diplôme en poche,

Même si je ne te connais pas, je voulais te donner quelques conseils d’ami, d’un collègue. Même si je n’ai pas les cheveux blancs, je pourrais te dire quand même certaines choses.

Tout d’abord, n’oublie pas que tu es un professionnel débutant. Même si tu as acquis des connaissances et des compétences, tu les feras évoluer au fur et à mesure de tes expériences. En cas de pépin, n’hésite jamais à demander de l’aide. Ce n’est pas parce que tu es diplômé qu’il te faut te démerder par toi-même. La meilleure sagesse est de s’entourer des personnes sur qui tu peux compter.

J’aimerai aussi te dire de te faire confiance et surtout de ne pas te mettre dans des situations trop difficiles pour toi. Si tu ne te sens pas capable de travailler avec des SDF, ce n’est pas la peine de postuler dans ce domaine. Cela ne fera du bien à personne. Ni à toi, ni à aux autres. Eclate dons ton métier dans un domaine où tu pourrais vraiment trouver ta place.

Je sais que les premiers mois, tu seras tout feu tout flamme dans ton boulot mais n’oublie pas de te ressourcer. N’aie pas peur de te remettre en question mais de façon constructive.

N’accepte pas un poste par défaut surtout dans un milieu où tu ne le sens pas trop. Un jour, je l’ai payé assez fort cher et je ne souhaite à personne de le vivre. Bien sûr qu’il faut vivre au niveau financièrement mais à quel prix ?

Ne reste pas seul et ne dis pas : «  Oui, j’ai compris » si tu n’as pas compris. Tu risquerais de te dire au fond de toi-même : «  Et bein, je ne suis pas dans la merde ! ».

Alors, bon courage dans tout ce que tu vas entreprendre, un bon courage aussi pour la reconnaissance dans tout ce que tu vas faire.

Peut-être que j’ai dis des choses simples, évidentes, mais ça peut aider de se remémorer tout cela. Les expériences des autres servent à te faire réfléchir sur tes pratiques !

 

Alors, bon vent à toi et garde confiance malgré les chutes et les illusions,