🤔 Alors, ce n’est pas être bénévole à l’étranger ni expat ! On ne part pas prendre la place d’un local !
🤗 C’est une réponse à un besoin d’un partenaire local sur une période déterminée, et nous sommes payés à peu près au niveau du pays.
👉 Ce statut nous permet aussi d’être sécurisé au niveau de la retraite et de l’assurance maladie. Bref, nous partons pas la fleur au bec et sans préparation, et nous ne faisons pas de solidarité washing !
😊 Après un temps de préparation et dès que votre candidature est retenue, une mission vous sera proposée en fonction de vos compétences, de votre expérience, et de votre profil.
💪 Bref, c’est une expérience de vie où l’on parle de développement intégral, de confiance, d’écoute, de formation réciproque.
13 ans après, j’en garde toujours des souvenirs vivaces et je garde encore des liens, essentiellement des anciens élèves qui m’ont retrouvés sur les réseaux sociaux ! 🤣
🤜 Je te parle de tout ça dans le carrousel Et au passage, j’en parle aussi dans mon spectacle « Un sourd rire vaut mieux qu’un mal entendu »
💓 Pure coïncidence : Mes grands-parents maternels se sont mariés au Sénégal à Tambacounda et ma mère est née à Dakar !
Je me suis amusé à regarder les photos de mon séjour en Sénégal en 2009, 2 ans après mon volontariat. En voici un petit florilège ! Entre la banlieue dakaroise et Vélingara.
Bonjour tout le monde, Mon premier recueil « Murmures de la brousse sénégalaise » fera partie des contreparties. Cela sera le pack poésie incluant bien sûr mon nouveau-livre et deux marques-pages.
J’avais écrit ce recueil lors de mon volontariat au Sénégal en 2006-2007. Ceux qui suivent mon blog depuis longtemps le savent (enfin, normalement). Je vous offre un poème de ce recueil qui sera en édition limitée pour les contreparties. Hé oui, il me reste 40 exemplaires chez moi en stock.
Un moment d’éternité
A travers les barreaux de la bibliothèque, J’observe la cour bercée par un vent sec Où les arbres dansent, ivres d’humidité. Les élèves essayent de travailler, hébétés Dans leurs classes, des vraies fournaises. Le soleil peine à se mirer dans un ciel Tourmenté. Quelques rires rompent le malaise Du temps incertain, hivernage miel Qui arrive. Les agriculteurs espèrent Une meilleure année pour les récoltes. Les feuilles mortes roulent dans la poussière Vers un avenir éphémère. Virevoltent Des tourterelles, se chamaillent dur Dans les branches du figuier sauvage. Je respire, prends cet instant mûr D’éternité, de vie simple et sage.
J’ai vu ce type de proposition d’article très sympa chez Blogosth. C’est repérer finalement 7 critères originaux ou principaux qui ont permis aux visiteurs de venir sur mon blog depuis le début.
Thomas Rahandraha
Un poète malgache qui revient souvent dans les termes de recherche. Je l’avais évoqué une fois car j’ai fait jouer un de ces textes par 8 collégiens au Sénégal. Oui, quand j’étais volontaire avec la DCC en 2006-2007 : Souvenirs du Sénégal : Déclamation d’un poème J’avais filmé leur prestation mais malheureusement, le film se trouvait sur une carte SD qui s’est abimé par la suite.
Ce sont ses jeunes. Seul souvenir photo que j’ai d’eux.
Lecture et liberté
Ce n’est pas étonnant puisque j’évoque pas mal dans mes écrits la question de la lecture. Lire donne des ailes, des outils pour se sentir plus libre dans ses pensées, dans ses idées, dans ses rêves. Lire fait un bien fou. Impossible pour moi de ne pas lire avant de dormir. La lecture, une porte ouverte vers la liberté
Je sais, je n’ai pas résisté à remettre cette photo !
Sourd oraliste
Ce n’est pas vraiment étonnant vu que je suis sourd oralisant appareillé. Je préfère dire oralisant qu’oraliste, car le terme oralise est, à mon sens, péjoratif. Celé réfère à une histoire de l’oralisation des enfants sourds qui a été mal vécu. Mon objectif est d’arrondir les angles et témoigner que maintenant, les méthodes ont changé et que l’oralisation est complémentaire avec la langue des signes francçaise et la langue parlée française complétée (ce dernier est une aide à la lecture labiale, pas une langue 😉 ) Sourd oraliste ? Sourd signeur ? (Il est un peu démodé ce texte, je trouve 😀 )
Note à moi-même : Prendre en photo mon appareil auditif dans un autre environnement !
Message d’amour
Effectivement, j’ai quelques poèmes d’amour et ce n’est pas étonnant que l’on tombe sur mon blog. L’amour est primordial dans nos relations. Je parle de tout type d’amour, hein ! Mais surtout de l’amour qui respecte, qui prends le temps, qui dynamise, qui prends pas patience. C’est surtout le texte « Je ne t’oublie pas » qui revient souvent dans les critères de recherche !
Outils Travail social
On change de domaine et pas le moindre. Normal, vu que je suis éducateur spécialisé et j’en ai écrit des textes sur le social, sur mes expériences d’éducateur. Dans ce métier, comme dans tant d’autres métiers, on a besoin d’outils pour travailler. Besoin de la matière grise et de la matière première pour concrétiser nos actes de la vie professionnelle. Voici le texte qui revient le plus souvent : Boite à outils d’un travailleur social
Photo de Anete Lusina sur Pexels.com (Oui, c’est rare que je ne prenne pas mes photos pour illustrer)
Handicap visible
Ah bon ? Pourtant la surdité est un handicap invisible. Et les handicaps invisibles concernent 85% des handicaps. Comment cela se fait-il que ce terme est utilisé pour venir sur mon blog ! Certes, j’ai bien évoqué tout type de handicap surtout quand je bossais dans des foyers d’accueils médicalisés avec des adultes IMC. Handicap visible ou invisible ?
Faire l’amour avec un sourd
J’avoue que cela m’a fait rire en voyant ce critère parce que j’ai pourtant pas écrit un Kamasutra pour personnes sourdes. Une personne sourde, dans le domaine de l’amoir est comme tout autre personne, avec un corps et des émotions. Puis chaque personne sourde est unique, très différent selon son histoire, son vécu. Comme chaque humain de notre planète! C’est sans doute ce texte qui revient avec ce critère : Couple sourd / entendant, un challenge ?
Dis, tu m’écoutes ? Youhou ?
Conclusion
Cela reflète bien l’image du blog, de mes centres d’interêts! Manque juste les oiseaux avec les photos 😀
Est-ce que cela vous a plu ? Et vous ? Comment êtes-vous arrivé sur ce blog ?
A défaut de photos actuelles, voici une photo inédite lors de mon séjour au Sénégal. Profitant des vacances et de la venue de mes parents et des amis, nous étions allés dans le Siné-Saloum. Voici un des rares clichés que j’ai pu prendre. J’avais un appareil photo très basique. (ce que je regrette un peu d’ailleurs).
Cela faisant longtemps que je ne vous avais plus mis de photos du Sénégal 😀
Quand j’ai vu le prochain thème, cela semblait une évidence pour moi de quelle bibliothèque j’allais aborder.
Pendant un an, je l’ai désablé (avec un gros pinceau), rangé, renouvelé le stocks de livres pour remplacer les livres années 50 (Bibliothèque verte et rose) pour les remplacer par des livres d’éditions africaine. Non mais ! Il me semblait important de favoriser la culture locale. C’est comme si dans nos médiathèques, nous trouvions que des bouquins d’Angleterre des années 30. (Je ne sais pas ce que ça donnerait d’ailleurs 😀 )
Alors voici la fameuse bibliothèque que j’ai tant parcourue (facile, juste un fond de classe! ). Ce n’est pas sans émotion que je revois la photo. Hélas, je crains qu’elle soit oubliée, sous le sable au fond de cette classe ou dans des cartons. En 2009, les livres étaient inutilisés quand je suis revenu quelques jours. Le sable avait envahi les pages!
C’était en 2006-2007 quand j’étais au Sénégal, en tant que volontaire de la DCC (Délégation Catholique pour la Coopération). Je devais gérer une petite bibliothèque d’un collège privé catholique à Vélingara et assurer une présence auprès des élèves. (Ateliers lectures, tournois de scrabble, surveillance des devoirs…).
Puis au passage, je ne pourrai pas dormir une seule nuit dans un lieu où il n’y pas de bibliothèque (petite ou grande).
Pour découvrir les autres photos des participants à ce projet, c’est sur le site du coté de chez Ma.