Aujourd’hui, plusieurs évènements ont eu lieu dans des lieux insoupçonnables.
En Irak, à Erbil, Une mère de famille yézidi a crié sa souffrance et à tout de suite appelé à la prière pour ses persécuteurs. Elle a appelé à ne pas se venger malgré la haine qui peut ressurgir à tout instant. Toute une communauté s’est rassemblé dans le silence pour la paix dans leur pays, pour qu’ils puissent retrouver leurs maisons, leurs boulots.
En Tunisie, une famille musulmane a invité pour l’Aid el kébir ses voisins chrétiens et juifs. Des rires et des chants ont fusé dans tout le quartier.
En Centrafrique, Des anti-balakas ont baissé les armes face à des jeunes chrétiens qui protégeaient des musulmans dans une église.
En Ukraine, un rebelle a tenté de renouer le dialogue sur le front de la guerre civile. Trois heure sans coups de feu ont été accueilli avec soulagements, permettant un peu de répit aux habitants de Donetsk.
En Ouzbékistan, un patron d’une usine a organisé un repas festif avec ses ouvriers et leurs familles.
Au Mexique, à Ciudad Juarez, un mafieux de la drogue a demandé pardon aux familles des victimes et s’est rendue à la justice. Il a donné tous ses biens en faveur de la protection des enfants.
A Paris, dans le métro n°13, toute une rame de métro s’est mise à chanter avec un joueur d’accordéoniste : « Je ne regrette rien » d’Edith Piaf.
Aux Etats-Unis, dans l’Etat de Kansas, lors d’une manifestation, une caissière a pris la parole au micro et a proposé des solutions au lieu d’accuser les responsables.
Partout dans le monde, chacun, devant son ordinateur, s’est mis à rêver et à établir des projets de dialogue, de fraternité.
Ensemble, essayons malgré tout, de construire des liens de coopération, de partenariat pour améliorer les conditions de vie chacun.
Essayons et soyons source de propositions sans accuser au risque de braquer l’autre dans ses retranchements.
Tous les faits réels sont fictives mais elles peuvent exister et sont souvent inspirés de faits réels ( indiqué en italique)