A court de batterie, je n’ai pu faire que quelques photos !



Promis demain, vous aurez des paysages de montagnes enneigées.
A court de batterie, je n’ai pu faire que quelques photos !
Promis demain, vous aurez des paysages de montagnes enneigées.
Sur la route du retour de boulot, après 50 mn de vélo (électrique)
Ce matin, j’irai en voiture à cause de forts vents du sud. Je ne prendrai pas de risques 😁
Quand sur la carte, j’ai vu « Pont du diable » avec une étoile. Je me suis dis « Chouette »! Ce n’est pas par tentation ou une volonté de donner mon âme au diable. Je savais juste que ça serait un joli pont en pierre. Et je n’ai pas été déçu.
Malgré les nombreux périls auxquels le village de St Marcellin en Forez a du faire face, le village recèle de trésors architecturaux comme le Pont du diable, classé monument historique depuis 1921. Il est l’un des ponts les mieux conservés du Forez.
Il se situe à quelques kilomètres du bourg, au lieu dit Vérines. C’est un pont haut et étroit à deux arches datant du XIVème siècle. La Mare est la petite rivière qu’il enjambe. Ce pont semble mener nulle part. Pourtant il a facilité les communications entre la plaine et la montagne car plusieurs voies convergeant vers lui. On pense qu’il facilitait le passage des mulets chargés de chaux extraite à Sury-le-Comtal, en direction du Velay. On n’explique pas autrement la présence d’un pont qui n’était pas vraiment nécessaire au franchissement d’une rivière de cette taille sauf en période de crues, la Mare est une rivière assez capricieuse.
Classé Monument Historique en 1921, le Pont de Vérines connu sous l’appellation « Pont du Diable » ou « Pont Peyrard » franchit La Mare, rivière à régime torrentiel, au débouché des Monts du Forez. Formant un dos d’âne et composé de deux arches, son élan au-dessus de l’eau est impressionnant . L’avant bec de la pile était destiné à réduire les remous et à dévier les corps flottants. Sa hauteur peut indiquer le niveau des crues autrefois.
Ce pont est mentionné dans une charte du Forez au XIVème siècle sous l’appellation ‘pont nouveau’ et devait donc remplacer un plus ancien. Des moulins existaient au même endroit, leur association avec des ponts étant très fréquente au Moyen-Age. Cependant, nous ignorons leur dispositif d’origine ainsi que leur relation avec le Pont de Vérines. Selon toute vraisemblance ce dernier assurait la mise au sec d’un chemin utilisé pour le commerce de la chaux entre Saint-Marcellin-en-Forez et le Velay
Source : https://www.loiretourisme.com/fiche/43542/le-pont-du-diable
Alors connaissez-vous d’autres pont du diable ? (Oui, j’en connais une en Ardèche déjà à Thueyts)
A Saint Romain le Puy, avec le prieuré perché sur un pic volcanique entouré de vignes ! Nous fîmes la sieste avant d’y monter.
Et ça sera en vain puisque c’était en travaux ! Ballot, n’est-ce pas ?
Nous faisions le tour sur le petit parcours de santé et un enclos avec deux ânes qui avaient un fort appétit sylvestre.
Un beau lieu à visiter avec un super panorama bien sûr! 😀
Le Prieuré couronne le sommet d’un cône basaltique où s’épanouit à la belle saison
une flore méditerranéenne discrète (figuiers, anis, amandiers).
Dominant la plaine et les hommes par un panorama exceptionnel, il arbore avec
fière allure les empreintes de sa splendeur passée.
L’église prieurale de Saint Romain le Puy est l’un des jalons les plus prestigieux
de l’art roman forézien. Son architecture témoigne de l’intensité artistique de l’an Mil,
à la charnière de l’art carolingien et de l’art roman.
Plusieurs phases de construction sont repérables : Un édifice funéraire du Ve siècle,
une nef de la fin du Xe, un choeur du XIe siècle et des embellissements gothiques.
Des pans de fresques des X, XI, XII, XIII, XVe siècle recouvrent une partie des
murs, les colonnes et chapiteaux, ceux-ci soutenant colonnes et arcatures annoncent une
variété extrême de thèmes et de motifs imprégnés de l’influence méditerranéenne
(animaux fantastiques, entrelacs, figures symboliques, motifs floraux).
Il est classé monument historique depuis 1899.Source : https://www.aldebertus.fr/Un-peu-d-histoire-aldebertus-art-2.html
A la base, nous visions le château qui se trouvait en haut de Marcilly le Châtel. Ce n’est que sur place que nous avions compris que la volière se trouvait au sein du château.
Les spectacles de rapaces étaient complets mais nous avions pu monter jusqu’au fort!
Sur la commune de Pomeys, dans les Monts du Lyonnais, j’ai enfin découvert le château de Saconay. C’est une belle demeure dont on a des traces du 14ème siécle. Mais les premiers documents de ce lieu date de 1550. Elle portait comme premier nom : Maison forte de la Carrodière.
Même si c’est une propriété privée, j’ai pu entrer dans le parc et j’ai osé me pointer jusqu’à l’entrée du château.
Je vous invite à découvrir le site internet du château bien fourni en histoire du Château et qui relate aussi les sacrés travaux par les actuels propriétaires, la famille De Brosse :
http://chateaudesaconay.fr/
Si les propriétaires du château me lisent, ais-je été dans l’illégalité quand je suis entré dans cette cour ? Vu que je n’ai vu aucun panneau m’interdisant l’entrée. Je suis déjà sourd, je ne pense pas être aveugle en plus.
J’espère que cette courte découverte vous aura plus!
Très bonne journée à vous !
Aqueduc du Gier à Chaponost
Souvenirs d’une virée dans le Pays Basque espagnol en été 2018 ! Malgré un temps gris, nous avons pu profiter d’un beau village typique!