Alors que les maux s’emballent au travers des mots qui ouvrent des blessures, un peu de douceur pourrait nous faire du bien.
Un peu de douceur dans nos gestes et paroles.
De la délicatesse dans nos mouvements pour prendre encore plus conscience de notre corps, de notre respiration.
Que, malgré les aspérités de nos quotidiens, les dialogues de sourds qui nous pèsent, un peu de douceur puisse nous détendre. De la tendresse ne peut pas faire de mal de temps en temps.
De la tendresse d’une épouse ou d’un époux qui vous berce.
De la tendresse d’une ami(e) vous accompagnant à vos côtés.
De la tendresse d’une mère consolant son enfant.
De la tendresse d’un animal domestique envers son maitre.
De la tendresse du soleil qui éclaire le visage en ces jours d’hivers.
La douceur pour accueillir une paix intérieur dans l’instant T.
Une caresse de l’âme.
Force de la douceur qui peut nous entrainer loin dans les liens sociaux, dans nos amours, dans nos vies professionnelles. La douceur n’est pas une faiblesse, au contraire. C’est recevoir et donner avec délicatesse pour respecter le mieux possible l’autre et soi-même.
« La douceur c’est la plénitude de la force. » de Alphonse Gratry
La douceur s’acquiert dans le temps, avec de l’entrainement, en fonction de nos histoires.
Je vous souhaite beaucoup de douceur et de plénitude dans vos vies, de vous trouver du temps pour être doux envers-vous-même et les autres.