Un peu de nostalgie en voyant cette ballade que j’avais faite y a deux ans (Février 2013). Dans l’attente, un jour de repartir dans la neige!



L’origine de la ville d’Arbois remonte à des temps déjà reculés où il est difficile d’en préciser l’époque. On assure cependant que ses vins étaient déjà connus des Romains.
- Jusqu’en 1260, Arbois ne fut qu’une villa, ou bourg sans défense ; elle s’entoura de remparts durant les dix années suivantes.
- En 1674, à la suite de la conquête de la Franche-Comté par Louis XIV, Arbois cessa d’être une ville fortifiée.
- Le 13 avril 1834, Arbois se déclare en République en soutien à la révolte des Canuts.
(Source: Wikipédia)


Le terroir arboisien produit quelques-uns des meilleurs vins jurassiens, dont le vin jaune et le vin de paille. C’est l’activité dominante. Arbois compte de nombreux vignerons comme Henri Maire, Rolet, Tissot, Clairet, Gahier ou Fumey-Chatelain.
Certaines bouteilles portent sur leur étiquette le dicton : « le vin d’Arbois, plus on en boit, plus on va droit ! ». Et une vieille chanson bien connue, le Tourdion, chante les vins d’Anjou ou Arbois. Il est aussi évoqué par Jacques Brel dans la chanson Pour mon dernier repas, ainsi que par Hubert-Félix Thiéfaine dans La cancoillotte, et dès 1285 : le comte de Chiny en offre à ses invités lors du tournoi de Chauvency, selon le trouvère Jacques Bretel qui en a bu en compagnie d’Henri de Briey.


Arbois possède aussi des élevages de vaches laitières de race montbéliarde, car elle se trouve dans la zone d’appellation comté et morbier. C’est pour cela que la ville compte aussi une fruitière à fromage. ( Source: Encore Wikipédia)

C’est aussi l’illustre savant Louis Pasteur qui donne à la ville sa renommée mondiale. Vous découvrirez à Arbois sa maison, son laboratoire, son collège, sa vigne, les tombes familiales … ( Source: Office de tourisme d’Arbois)

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