Rêvons pour que la fragilité ne soit plus un tabou, mais comme une force, un tremplin.
Rêvons pour que nos regards sur l’immigration, sur les autres religions soient apaisés.
Rêvons à une solidarité naturelle, qui va de soi et touche le cœur de chacun, des plus riches aux plus démunis.
Rêvons pour que nos mots deviennent des armes de fraternité, de lutte pour la paix dans le dialogue et la fermeté le plus juste possible.
Rêvons pour que l’optimisme revienne malgré la crise, malgré « l’insécurité culturelle » et de permettre à chacun de voir l’autre non comme un ennemi mais comme un ami, un partenaire, un homme tout simplement.
Rêvons pour que l’homme soit au centre des décisions politiques.
Osons rêver que voir d’autres horizons possibles, appréhender d’autres chemins pour affronter la peur.
Rêvons pour que nos rêves deviennent des réalités.
Pleins d’artistes ont composés des textes porteurs de sens tel que Jacques Brel.
Osons vivre nos rêves, nos valeurs et que chacun de nous puisse se sentir à sa place et digne d’être respecté.
Et puis agissons pour s’approcher au plus près de nos rêves !
Apprendre à écouter 
Rêvons d’un monde ou les hommes politiques ne sont plus coupés de la réalité,
ou la bêtise humaine serait absente, enfin c’est pas pour maintenant…
Bonne soirée Vivien.
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Pas pour maintenant c’est vrai mais on ne sait jamais! 😉
Bonne soirée à toi aussi
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étrange de lire ces mots après le 7 janvier. Tes rêves puis le cauchemar, mais on ne tue pas un rêve, n’est-ce pas ?! Le 6 janvier je souhaitais sur mon blog la liberté pour 2015… et c’est pareil on peut lui faire mal mais elle ne s’éteint jamais dans le coeur de ceux qui y croient…
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Oui étrange! Non, c’est vrai on ne tue pas un rêve! On ne tue pas la liberté!
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