De l’air.
Un bruit de fer.
Des cris d’enfants fiers.
Un oiseau jaune de lumière
S’envole vers un clair horizon
Flamboyant. Finies les dures saisons.
Une goutte d’eau inonde les cœurs asséchés.
Oubliées les querelles, les disputes entachées
De larmes et de sang. Douceur de vie
Qui caresse un amour inassouvi
Entre des hommes, des femmes.
Paix et bonté des âmes.
Respect et fraternité.
Agréable liberté.
Légère utopie.
Un espoir
D’un soir.
Sourires.
Rires.

Joli, on s’y croirait !
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Merci! L’ambiance me manque alors je les revis à travers le partage des textes que j’ai écris sur place y a 7 ans!
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J’adore l’Afrique ! alors là je plane
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suis passée en cette Terre… et sans y penser, et sans passer par les chemins ouverts mais plutôt en traverse en Liberté, j’ai amassé un Trésor qui m’était cher… de l’Humain…
en autre visage… à m’apaiser par ses sourires, et son envie de vivre dans sa Survie… :-))
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Bonjour !
Je viens de faire un petit tour sur ton blog : sympa !
Je te mets un mot sur ce poème que j’aime beaucoup. Mon fils aîné a passé 2 ans à Dakar en coopération !
Bonne journée,
Rotpier ou Pierre … c’est au choix !
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Tiens, un petit cadeau :
Souffleur de vers,
J’aime jouer avec les mots,
je les prends et je les assemble
et certains vont si bien ensemble
qu’ils brillent comme des émaux !
Pour peu que je sois inspiré,
je les dispose en un bel ordre
« Allez mes beaux : pas de désordre ! »
et ils le font sans soupirer !
Quand je les ai bien à ma main,
j’attends le clin d’œil de ma muse
et dès que je l’aie je m’amuse
sans attendre le lendemain !
Si jamais ils sont de travers,
je les ordonne et les aligne
impeccablement sur des lignes
qui peu à peu deviennent vers !
Je cherche à garder les meilleurs,
j’en ajoute ou bien j’en supprime
jusqu’à ce que l’ensemble rime :
parfois je suis très pinailleur !
Si l’un d’eux marche à cloche-pied,
je le repère et l’apostrophe,
je le soigne au sein de sa strophe
pour qu’il ne soit plus estropié !
Puis vient le moment excitant
où règne une grande harmonie,
où disparaît toute atonie
et ils s’élancent en chantant !
Uniquement a capella,
j’ignore tout de la musique,
ce serait pourtant fantastique
de leur faire ce cadeau-là !
En attendant ils sont heureux
de chanter et de vivre ensemble,
jamais ils ne se désassemblent
à l’image des amoureux !
Je ne suis qu’un petit rimeur,
un pisse-copie de la strophe,
mais loin d’être une catastrophe
cela suffit à mon bonheur !
J’écris du poème à trois sous
et si certains en valent quatre,
je ne descends pas quatre à quatre
pour allez le crier partout !
Printemps, été, automne, hiver,
je les offre à qui veut les lire
je les donne à qui veux les dire :
je ne suis qu’un souffleur de vers !
Pierre Dupuis
Post-scriptum :
Si malgré mon application
vous trouviez une anomalie,
soyez amène je vous prie :
soufflez-moi votre suggestion !
Bonne lecture,
Pierre
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Un grand merci! Je me suis régalé à vous lire!
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