Bigre, un groupe d’analyse de la pratique

Et si je vous parlais du groupe d’analyse de la pratique.

Ou bien une supervision. C’est selon le vocabulaire de chacun pour désigner la même chose.

Qu’est-ce donc ? C’est une relecture de sa pratique professionnelle avec une psychologue ou un coach.

Mais ça, c’est en théorie.

C’est souvent un lieu où l’on étale ses déboires sans se remettre en question.

Un lieu où l’on critique l’institution, où on râle, où on se défoule.

Mais tout dépend comment le groupe est mené, puis tout dépend aussi de la dynamique de l’équipe.

Je me souviens de ma dernière expérience d’éduc : mes collègues ne parlaient pas du tout d’eux mais surtout des jeunes. Cela en devenait presque une réunion de synthèse bis mais en version affect multiplié par 10. Il n’y avait aucune remise en question. C’était plombant et épuisant. Nous n’avancions pas. Je me disais franchement si la psychologue présente était utile.

 

Sérieusement, heureusement, il y a une grande majorité de groupes où cela fonctionne bien.

C’est essentiel pour souffler, pour prendre de la distance face à des situations complexes, difficiles avec un jeune, un parent ou un partenaire.

Essentiel pour mettre des mots sur un mal-être (ou pas) et de se dire les choses.

Essentiel pour se sentir moins seul.

Essentiel pour s’exprimer et avoir des appuis pour pouvoir avancer plus sereinement.

Un lieu de parole pour désamorcer les conflits dans une équipe si besoin, pour lever des incompréhensions, des malentendus.

Un lieu nécessaire pour chacun. Vital pour la vie d’une équipe, de l’institution.

 

Et vous ? En avez-vous sur votre lieu de travail ?  Quels sont vos expériences de ce type de groupe ?

27 réflexions sur “Bigre, un groupe d’analyse de la pratique

  1. malyloup 16 mars 2016 / 18 h 54 min

    bigre, vivien, j’ai un groupe d’analyse de la pratique la semaine prochaine……et à raison de 2h par mois (sauf l’été), ça fait plus d’un an que nous en bénéficions (sur presque 25 ans de carrière….)

    et malheureusement je te confirme que j’en ai la même expérience que toi…..alors que j’y crois, moi, au bienfait de ces séances!

    mais il faudrait avoir un intervenant capable de recentrer le débat 🙂

    je positive néanmoins et je me dis qu’à force il va bien en ressortir qq chose de bon pour tous (équipe et résidents)

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    • lesouffleurdemots 16 mars 2016 / 19 h 41 min

      Merci beaucoup pour ton retour! 2 heures par mois, c’est déjà pas mal. Normalement, c’est compté dans les heures de travail, c’est bien le cas pour toi.
      Oui, le rôle de l’intervenant est primordial pour recentrer le débat et surtout qu’il connaisse bien le domaine du social!

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      • malyloup 16 mars 2016 / 19 h 50 min

        oui, c’est compté ds les heures de travail……et l’intervenante est une ancienne infirmière qui s’est formée à l’animation et au coaching ….

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  2. Mimyân 16 mars 2016 / 19 h 55 min

    3h mensuelles avec un-e psychologue clinicien-ne et évoquer les dysfonctionnements institutionnels fait partie de notre pratique ! Nous nous heurtons tellement souvent à ces freins institutionnels dans l’accompagnement même des jeunes et leur famille que cela influence forcément sur notre positionnement professionnel… c’est ce qui bien souvent aussi pousse certains collègues à la résignation ou à la souffrance donc en parler dans un lieu où la confidentialité est la règle de base est déjà important.
    Pour ma part j’utilise cet espace de parole quand la situation d’un jeune fait soit écho à un élément de ma situation personnelle de manière à avoir le retour d’un tiers, soit quand une situation me met mal à l’aise sans que je puisse comprendre en quoi. Dans ces deux cas ma crainte est de mal faire avec l' »usager » et cet espace devient primordial.

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    • lesouffleurdemots 16 mars 2016 / 19 h 57 min

      Merci pour votre témoignage. C’est très bien aussi bien sur d’évoquer les dysfonctionnements institutionnels, surtout si cela pèse dans le quotidien!
      Bonne continuation à vous!

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  3. coach gun 16 mars 2016 / 20 h 34 min

    Mais pourquoi appeler ces réunions « groupe d’analyse de la pratique » et non pas « groupe de recherche de réponses à la pratique » ? Ou « braim storming créatif » etc…

    Trop de personnel « universitaires nationaux » ont été formatés à être seulement contemplatifs, analytiques…Les concepts comme: résultats, décisions, choix de réponse,productivité, éfficacité etc… sont maladivement rejetés!

    Et en plus ces réunions devraient être gérées par des « managers » des personnes capables de gérer pour la recherches de réponses. Dirigées par des personnes capable d’organiser et faire produire des solutions…

    Il n’y a rien de plus « stupide » de faire diriger ce genre de réunion par des psychologues. ( Sauf à considérer les participants comme des malades!) . C’est dommage que les psychologue n’aient pas l’intelligence de comprendre qu’ils ne sont pas armés pour ce genre de fonction. Mais je suppose que leur besoin de pouvoir est plus fort pour eux que la volonté d’efficacité!

    Par expérience

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    • lesouffleurdemots 16 mars 2016 / 20 h 42 min

      Merci pour votre retour. Je tire ces mots par mes expériences et de par ma formation que j’ai faite y a 10 ans. Je vous rejoins totalement! 🙂

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  4. Elodie Wiart 17 mars 2016 / 15 h 10 min

    Je n’ai pas eu la chance de bénéficier de supervisions au sein de mon institution, du coup j’en ai fait quelques unes par moi même en individuel avec un formateur que côtoyais dans le cadre de ma formation de thérapeute.
    Nous avions en revanche des temps de régulation… avec un psychologue largement influencé par des concepts très « psys » avec lesquels je n’étais pas toujours ok. Et qui, par ses interventions liées à ses croyances, entretenait des tensions entre les pros… Ça ne reste que mon regard. Je m’amusais parfois à observer le processus durant ces moments, et à le confronter à ça… ça a été plusieurs fois assez drôle (oups :p).
    C’était un espace où tout le monde se plaignait parce qu’apparemment c’était ce que l’on devait y faire ?
    En tous cas je n’ai jamais été convaincue de l’intérêt de ces moments, en tous cas de comment ils étaient utilisés car pendant 10 ans de pratique, j’ai toujours revendiqué la pertinence d’être supervisés dans notre pratique.

    Sinon petite nuance, supervision et GAPP ne sont pas la même chose. En supervision, les professionnels vont s’investir personnellement puisqu’il s’agit d’aller voir ce qui se rejoue dans une relation, ce que à quoi ça nous renvoie, etc. Un GAPP est plus un espace de réflexion pour trouver des outils adaptés à une situation qui pose – en général – problème 😉

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  5. coach gun 17 mars 2016 / 20 h 51 min

    Je trouve très drôles les réunions ou on débat, toujours et encore, sur la meilleure manière de faire d’autres réunions. Mais non. si telle paire de Nike aurait un effet positif sur Chloé et qu’il faudrait l’acheter demain.
    C’est vrai que les psy sont très pauvres dans leur registre de solutions. Limitées en général à 2 rayons de livres indigestes et non opérationnels.

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  6. romege 18 mars 2016 / 0 h 28 min

    Un GAP, n’a pas pour objectif de produire des effets immédiats mais de redéfinir une méthodologie. Il s’agit, selon le psychanalyste Christophe Dejours, de préciser la méthode permettant de passer du problème à la problématique…

    Aujourd’hui, en effet, les consultants issus de l’ingénierie sociale présentent l’idée qu’à chaque problème institutionnel correspondrait une réponse spécialisée. Considérant que :

    la supervision, du ressort de l’intervenant clinicien, traite des problèmes psychologiques du professionnel induits par le travail ;

    la régulation, du ressort du psychosociologue, traite du dysfonctionnement de l’organisation ;

    l’analyse des pratiques, du ressort du formateur pédagogue, traite des savoir-faire en situation.

    Et ainsi de suite…

    Il suffirait, dans cette optique, d’entamer l’action de formation par une phase diagnostique pour connaître les besoins et y répondre spécifiquement. Clefs en main, si j’ose dire.

    Mon expérience m’amène plutôt à considérer deux choses :

    que les différents niveaux interdépendants du problème institutionnel apparaissent progressivement et que leur compréhension s’étaye réciproquement ;

    que l’élaboration menée par l’équipe ne porte jamais sur le seul traitement d’un problème, mais aussi sur la reconnaissance de ses savoirs et de ses compétences.

    Autrement dit, au-delà des difficultés qui l’affectent, un groupe analysant sa pratique est toujours appuyé sur la question de son identité, et l’intervenant, qu’il le veuille ou non, est impliqué dans cette question.

    Extrait de : Réflexion sur l’analyse des pratiques institutionnelles
    par Lin Grimaud
    ici>>>https://www.cairn.info/revue-empan-2007-3-page-129.htm

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  7. coach gun 18 mars 2016 / 11 h 45 min

    @Romege;

    Tu pourrais être plus concret dans la solution pour un bon fonctionnement d’un groupe sur le terrain et qui est dans le réel quotidien?

    Oui, c’est à l’image de l’université! Des clans, des sectes à l’esprit étriqué qui ne pensent qu’à défendre leur zone de confort étroite. Mais qui jouent la posture de l’interdisciplinarité par simple arrogance et condescendance!

    La solution est d’interdire aux techniciens de la psy le pouvoir qu’ils ne sont pas capable d’assumer. Mais quand cela a été essayé ( dans les hopitaux par exemple) la violence de la réaction des ces corporations archaiques et fermées sur elles-mêmes dans un égoisme radicale est telle que le changement n’est pas possible.

    Autrement il existe bien des savoirs, des models, des procedures, des métiers… qui parlent d’une analyse pour aboutir à une réponses fiables et opérationnelles.

    Mais c’est surtout dans le privé. pas dans le public subventionné, assisté sans objectif.

    PS: une bonne nouvelle. Les fonctionnaires vont être augmenté. Il faut croire que le gvt est satisfait de la manière dont ils ont géré la France ces dernieres années. Cela est bon de savoir que les fonctionnaires cadres du monde hospitalier vont être augmentés au mérite pour la qualité de leur gestion. et de leurs résultats ( Une augmentation proportionnelle au salaire qu’ils ont déjà)

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  8. romege 18 mars 2016 / 13 h 36 min

    Bonjour,
    @CoachGun (pseudo qui m’interpelle d’ailleurs… Traduction ? Origine ?)

    Alors moi, je n’ai pas eu la chance de faire des études supérieur, donc je ne manie pas la plume aussi bien que d’autres… Donc désolé si mon petit texte est décousu, déstructuré ou que sais-je encore.

    Je vais me présenter rapidement… Je suis un tisseur du quotidien (CF http://www.lien-social.com/Les-tisseurs-du-quotidien-Pour-une-ethique-de-l-accompagnement-de), dans un Foyer d’accueil Médicalisé (FAM) qui accueil des adultes en situation de handicap suit à un accident de la vie ( trauma crânien, AVC…). J’ai aussi des choses à dire, des idées à partager et l’envie de faire mon métier dans des conditions les moins pires afin d’éviter de devenir un travailleur social maltraitant, inhumain et finir en burn out… Je crois aux vertus du GAP, cela se ressent dans l’équipe, nous en parlons entre-nous et nous sommes en demande de GAP (10 GAP/an de 2H environ). Bien entendu que le GAP n’est pas le seul outil qui permettra à une équipe d’aller mieux, mais ca y contribue grandement.

    En tout cas, mon ressentiment et que cela ouvre des portes, des discussions, suscite des interrogations, entre collègues, que l’on a souvent pas le temps concrètement quand on est sur le terrain, dans l’orga, dans le speed de l’institution, dans les crises à gérer, les mal êtres des uns et des autres, les RDV ext/ inter, les courses, les réunions, les PP, les levers, les couchers, les repas, les toilettes, les bobo, les clopes, le café, l’ennui, les idées noires et j’en oublie !

    Je ne sais pas quel est ta fonction et si tu bosses dans le médico-social (MS) mais je ne sens pas que tes interventions soit des plus posées, y’a pas mal de mélanges dans ce que tu écrits… Quand je te lis, les mots que tu emploi me font un peu peur, tu parles de fonctionnement, de procédures… etc, tu as un langage très technique… De rancœur envers certains acteurs, certains métiers, une des bases de ce métier est quand même l’équipe pluridisciplinaire, non ? Seul à accompagner des personnes en situation de handicap, je ne leur serait pas d’une grande utilité, voir même je les mettrais peut être en danger… et paradoxalement travailler en équipe c’est pas facile… Un monsieur dont je ne connais plus le nom à dit un jour : « L’équipe ça se construit, l’esprit d’équipe ça se cultive. »

    Voilà, merci.
    romege

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    • L'amour et exxige 18 mars 2016 / 21 h 37 min

      Mon fils adulte handicapé est en foyer de vie!!!! Je suis convoquée la semaine prochaine pour parler de son comportement. La Psychologue. Qui est très jeune sans enfant a fait un rapport de 15 pages sur mon fils. Je ne comprends pas pourquoi les éducateurs ne se remettent pas question plutôt que de dire que les residents quand ils ne vont pas bien. Pouvez vous m’aider pour mon entretien avec l’équipe je voudrais leur dire qje les éducateurs doivent expliquer chacun leur comportement et de voir ce qui ne convient pas merci de votre AIDE

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      • romege31 19 mars 2016 / 13 h 07 min

        Bonjour Madame, Je comprends votre ressenti. Je ne connais pas exactement le pourquoi de cette « convocation » déjà rien que le terme m’interpelle… Je parlerais plutôt de rendez-vous, d’entretien… Les entretiens avec les familles dans le foyer où je travaille se font en petit nombre, généralement 2 ou 3 professionnels maximum (éducateur référent, assistante sociale et ou chef de service) afin qu’il n’y a pas cette impression de tribunal… Faites leurs part de vos observations, interrogations, doutes, ils ne sont pas là pour vous juger !
        Merci

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  9. coach gun 18 mars 2016 / 14 h 07 min

    @romege;

    Quand on a un problème, il ne faut pas en faire une problématique sans moyen! ex: Pour coach gun, il faut chercher dans google!

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    • romege 18 mars 2016 / 14 h 50 min

      Ah oui ça véhicule de bonnes idées humaniste ce pseudo…

      Coach gun
      Le Coach Gun des Westerns.

      Sous le nom de Coach gun (« fusil pour cocher » en Français), les fusils de chasse à canons juxtaposés courts, proches du fusil à canon scié mais conservant leur crosse intactes, étaient les armes de prédilection des conducteurs de diligences aux États-Unis à l’époque de la Conquête de l’Ouest. Le même usage en était fait dans l’Australie coloniale.

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      • coach gun 19 mars 2016 / 18 h 09 min

        Tu vois tu as compris. Devant un problème à la hauteur technique, on n’en fait pas une problèmatique pour fuir. On ne fait pas des réunions. On ne se coule pas dans la mentalité de l’assisté dont le premier reflexe c’est de se plaindre et demander à quelqu’un d’autre! On cherche perso. Dans google.

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  10. coach gun 18 mars 2016 / 14 h 29 min

    J’ai pas bien compris ton truc. Tu es un salarié payé pour faire un boulot. Satisfaire un service; Ou tu es un patient qui consomme?

    Parce que ces réunions, j’ai l’impression que tu les veux pour améllorer ton bien être, à toi. Et nom pas pour améliorer la qualité de ton service aux autres. ( La réponse facile est: tout est lié!!!!).

    C’est cela les objectif des réunions? Permettre aux équipes d’aller mieux? Et non pas optimiser les services aux patients!

    J’ai un langage trop technique? Tu voudrais quel genre de langage? Esotérique? Pédant, Clanique? avec des : »avc », « gap », « fam » ….

    La base de ces métiers, de tous les métiers, c’est l’équipe pluridisciplinaire. Mais cela ne peut rester une formule incantatoire, cela doit être mis en oeuvre et cela nécessite des efforts. Alors des « équipes » qui pose en pluridisciplinaire mais ne viennent chercher que la pause et le bien être perso, cela n’a rien de pluridisciplinaire! Cela n’est pas une équipe: c’est juste un consensus pour des avantages égoistes.

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    • romege 18 mars 2016 / 14 h 47 min

      Oulala, je te sens en colère… On peut débattre des bienfaits des outils issus de la psychothérapie institutionnelle calmement et posément. Et oui pour soigner les malades, il faut d’abord soigner l’hôpital… CF Oury, Tosquelles… Mais je ne sais pas si cela te parle, je n’en ai pas l’impression… Bref dommage… Je te renvoie à ce que tu me disais plus haut : il faut chercher dans g00gle !

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  11. coach gun 18 mars 2016 / 15 h 32 min

    Oh la la. il faut un langage castré et sans saveur pour mieux communiquer! C’est encore un psy inconséquent qui a imposé cela? Désolé mais la gamme de l’expression écrite ou expression orale peuvent être variées. Et quand on sort de la chansonnette improductive on n’est pas forcément en colère et on ne véhicule pas forcément de la haine.

    Ceux qui sont dans le résultat le savent. les autres, ils gnangnantent dans le vent.

    Les castrés du verbe voudraient bien que chacun soit dans une camisole chimique ou dialéctique pour garder le pouvoir dans leur registre!

    Quant à soigner l’hopital en priorité aux patients on sait que tel a été le choix de la France. Au vu des trous et des couts! Mais pour soigner l’hopital il faut d’abord amputer la cangrène. lol.

    PS: tu as lu les dernières infos? un « organisme médicale » a fermer 2 heures plus tôt pour fêter le départ du directeur.( Le champagne c’est payé par la sécu) Les usagers ont été laissés dehors. Encore la priorité du bien être de l’équipe, de l’hopital sur celui du patient, de l’usager.
    Tu devrais moins lire tes maitres à penser et plus les faits divers du monde extérieur. Non?

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  12. romege 18 mars 2016 / 16 h 32 min

    Bon, je n’ai plus grand chose à dire face à de tels arguments… Quelqu’un peut prendre le relais svp ? 🙂

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    • lesouffleurdemots 18 mars 2016 / 16 h 44 min

      Te tracasse pas! Vous avez chacun votre vision du sujet. Le plus important est de faire de son experience, de ses questionnements, pas de vouloir convaincre.

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  13. coach gun 18 mars 2016 / 16 h 50 min

    Tu pourrais déjà donner une réponse simple à un problème: la priorité absolue, est-ce le bien être du clinicien ou l’avancée du patient. ? Et avec ta réponse: il faut la mettre en oeuvre avec énergie. Alors tu oses la réponse? Tu sais oser la réponse pour avancer vers la solution?

    Même question simple pour les réunions!La priorité totale, C’est pour le bien être du personnel ou celui des patients? As-tu la force d’une réponse simple au problème. Sinon tu n’es que dans la posture. Tu ne trouveras jamais de solution pour les patients.

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    • Lamouret edwige 18 mars 2016 / 21 h 47 min

      Trop de réunions dans les établissements au lieu de s’occuper de ses residents(je parle pour le foyer de vie ou se trouvent mon fils ) et après on constate une regression des résidents. Mer i

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      • romege31 19 mars 2016 / 12 h 44 min

        Bonjour Madame,
        Je ne sais pas de quelles institutions vous parlez, ni de quelles réunions… Pourriez-vous me donner des exemples ? C’est votre ressenti et je le respecte, il y a des institutions où sans doute la réunionite règne… Dans le foyer ou je travaille auprès des PH, cela est plutôt équilibré. Pourriez-vous en parler à la direction ou dans une instance au sein du foyer où est accueilli votre fils ? Avez-vos entendu parlez du Conseil de la Vie Sociale ? CF loi du 2Janvier 2002.
        Merci

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  14. coach gun 19 mars 2016 / 18 h 32 min

    C’est quoi les « ph »? une marque de désherbant? Une référence d’une pièce mécanique d’une voiture?

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Soyez pas timides, venez oser dire des mots!